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Bella ? Belle, une tempête ? Oui peut-être mais je verrais plutôt impressionnante, furieuse ou dévastatrice. Belle... On peut se demander qui a pu avoir l'idée croquignolette de nommer une tempête, Bella.
Bon, sur le net, y'a ça :
En 1954, une étudiante de l’Université de Berlin, Karla Wege, a proposé de donner un nom aux dépressions et anticyclones qui traversaient l’Europe pour rendre la météo plus accessible au grand public.
« Une tempête est toujours pilotée par une forme de dépression. Donc le nom d’une tempête va correspondre à un nom de dépression », explique Olivier Proust, prévisionniste à Météo France.
Depuis 1954 et jusqu’en 2002, l’Institut de Météorologie de l’Université de Berlin établissait une liste pour l’année à venir, en se basant sur la liste établie par Karla Wege.
Lors des années impaires, les dépressions reçoivent des noms masculins, et, lors des années paires, des noms féminins. Les anticyclones sont baptisés selon la règle inverse. Ainsi, le prénom masculin Joachim a été choisi en 2011, année impaire. Même chose en 2009 avec la tempête « Klaus » et les tempêtes “Lotach” et « Martin » en 1999. La fameuse tempête Xynthia portait ce nom féminin car nous étions en 2010.
Pour les tempêtes,( en France) la liste des prénoms est établie en début d’année dans l’ordre alphabétique. Par exemple, la première tempête de 2012, en janvier, était baptisée Andrea. Et pour 2019, la première tempête se nomme Amélie. Pour se faire, la France travaille avec l’Espagne et le Portugal pour définir une liste de prénoms qui respecte un ordre alphabétique (A, B, C, D…), l’alternance des prénoms masculins/féminins et l’alternance de leur pays d’origine.
Depuis 2002, l’Institut de Météorologie de Berlin permet néanmoins à n’importe qui d’acheter le nom d’une future tempête via le formulaire “adoptez un vortex”. Les candidats à l’achat doivent néanmoins respecter la règle des années paires (noms féminins) et impaires (noms masculins) et l’ordre alphabétique. Celui qui a acheté Joachim est un certain Joachim Weber! [...] Cependant,Les noms de familles et les noms de marque ne sont pas autorisés.
( de Ca m'intéresse - "Qui choisit le nom des tempêtes ?" B. Lutaud )
Bon,... Y'a donc des gens qui font un gros brainstorming chaque année pour nous pondre des noms improbables ( ou pas ) et ce, afin d'en étiqueter nos coups de vent hivernaux.... Big deal ! Ou mieux encore, qui les font sponsoriser par des quidams prénommés Gustave, Nils ou Octavia... On frise le génie !
Alors oui, noms de marques interdits. Dommage ! Une tempête Ariel ou Cif pour récurer les paysages, l'ouragan Breeze pour changer d'air ou le glissement de terrain Lindt qui repeint tout couleur chocolat, ça aurait pourtant un cachet certain !
Tout cela est évidemment formidable mais il y a quand même un petit bémol à la chose. Eh oui, le lamentable quiproquo. Sinon, que penser du péremptoire:
" Y'a Bella qui a déraciné le chêne du jardin !
- Bella ? A neuf ans ? "
Bon, j'admets qu'il s'agit ici d'un cas extrême mais on a aussi ça en rayon : " Ciao Bella ! " ou bien " Est-ce que tu as vu Bella aux infos régionales ? " ( J'imagine les parents. " Bella, c'est quoi cette histoire de télé ? " ) Gros souci ! Je comprends dès lors votre confusion qui est aussi la mienne... Enfin presque.
On peut juste espérer qu'il ne sera pas nécessaire de faire la même chose pour des maladies avec la Covid Barnabé , la grippe Alphonsine ou la gastro-entérite Désiré... Effectivement, ce serait un peu moche.
Ce préambule indigeste étant posé, voyons donc à quoi ressembla l'ineffable Bella dans nos contrées sudistes.
Couverts mais pas emmitouflés. L'imperméable plutôt que le passe-montagne.
Le casino est peut-être un peu près de l'eau. Cet avis n'engage que moi.
Dans la société du risque zéro, on met des barrières pour empêcher les gens d'aller au contact des éléments déchaînés. Je ne sais pas trop quoi en penser.
Il pleuvait. C'est un fait avéré qui ne saurait être discuté.
Ces jetées, c'est pas mal quand même.
Garer son bateau en épi, c'est en effet l'une des épreuves du permis bateau. Et croyez-moi ! Pas la plus facile !
Le plongeoir au premier plan ne connaissait pas une grande affluence. La concurrence d'un match de foot à la télé sans doute...
Autrefois, on aurait pu se rincer l’œil ( et même les deux ! ) gratis en terrasse. Plus cette année...
Le frère de Marie Myriam ( Eurovision 1977 )
Position stratégique entre les bancs pour s'accrocher en cas de forte lame. Ingénieux !
Bella floue ou de dos, peut-être... Je ne sais plus trop.
En tout cas, que tout cela ne vous empêche de passer, toutes et tous, une
EXCELLENTE ANNÉE 2021 !
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Certains esprits cartésiens m'objecteront, à raison, que le ciel aussi est bleu. A ceux-là, je répondrai que oui, c'est fort possible. Malheureusement, il ne relève pas de ma compétence de régler l'attribution des couleurs. En même temps comme dirait l'autre, je comprends la confusion dans laquelle ils se trouvent suite à ce constat.
J'ai d'ailleurs décidé, pour leur faire plaisir, de faire repeindre certains cieux ou étendues liquides avec d'autres couleurs allant du gris morose au marron franchement pas ragoutant pour qu'ils ne pensent pas à un quelconque prosélytisme de ma part en faveur de la cause liquide. Et hop ! C'est cadeau !
De toute façon, ici, point d'eau mais seulement du bleu. Graphique parce qu'un peu de ces choses non essentielles ne peut pas vraiment nuire en ces temps où l'heure de gloire de la coquille d'escargot et du repli stratégique à l'intérieur d'icelle sont devenues valeurs quasi universelles.
Colorama à Biarritz, en octobre
Là, indubitablement, c'est... assez bleu. Dans notre bassin, d'abord, avec l'orage qui s'en vient puis, au lac marin d'Hossegor, le lendemain du jour où l'on nous a généreusement octroyé 20 km de rayon pour nous dégourdir les nageoires. Le bocal s'en est trouvé, d'un coup, considérablement agrandi au point que même les parois de verre ont disparu. Trop bien !
Gris bleu 70 - 30. Encore le bassin et oui, il ne fait pas bien beau ces temps-ci.
Marais d'Orx ( sud des Landes ) . Eau bleue et ciel bleu. Match nul en quelque sorte.
La route du même marais un peu inondée. Beaucoup en fait. Peur de rater le poulet dominical. Le gars a fini en pédalo.
Devait être bon le poulet...
En fait, ceci est une supercherie sans nom parce qu'en vrai, l'eau, elle était carrément marron tendance bouillasse.
La Nive à Bayonne. Troncs en partance pour l'Atlantique et nos rivages landais. Le bois flotté, faut bien qu'il vienne de quelque part.
Merci à nos amis basques !
Evidemment, pour la promenade sur les chemins bucoliques, c'est un peu raté. Un marron plus beige parce c'est du sable qui trouble l'eau. Pas le chocolat basque ( fameux d'ailleurs ) de l'image précédente.
Y'a bien un endroit où ça finit par lâcher. Eh bien, c'est là.
Pas grave, l'eau file vers le marais... inondé. Ah oui... Pas top, ça.
La vie d'arbre, c'est pas toujours fantastique. Trempé jusqu'au tronc, moi ça me dirait pas trop.
Ce qu'il y a de bien avec les grues cendrés, c'est que la météo humide n'a aucune prise sur elles. Elles font autant de bruit que lorsque le temps est agréable et leur couleur grise n'est, ni décolorée par le soleil timide de cette fin d'automne, ni délavée par le déluge de ces derniers jours. De la bonne qualité, ces plumes !
PORTEZ-VOUS BIEN !
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Fin de printemps ? Fin mai jusqu’à fin juin ou presque. Les jours sont longs, l'air est doux et le temps clément. Où je m'aperçois qu'il fait beau sur toutes les photos alors que je m’apprêtais à agonir un mois de juin assez humide pour le dire gentiment. De toute façon, qui faudrait-il en blâmer ? Nous, les humains certainement alors autant ne pas hurler au loup puisqu'il est de notoriété publique que l'homme est un loup pour l'homme.
Oui. Je suggère que nous passions à la suite avant que d'autres péroraisons fumeuses ne viennent alourdir plus encore le contenu déjà bien flasque ( Et ça ne fait que commencer ! ) de cet article.
Azalea Toucan Knaphill Hybrid, enfin je crois. Très jolie floraison. Pas très glamour l'hiver parce qu'elle est caduque et pas non plus l'été, une fois la floraison terminée. Pourquoi l'avoir achetée alors ? Pour faire la photo une fois par an ! Oui, ça se défend même si...
Les glaïeuls, plus on enlève d'oignons, plus il en pousse. Je suis sûr que quelqu'un vient en rajouter en douce.
Je l'aurai un jour, je l'aurai !
Et puis ça devient tout bleu et c'est aussi très joli. Ensuite, ça fane mais ça ne parvient même pas à devenir laid. Bon, dans ce cas-là, autant dire que c'est beau tout le temps.
Maïs au berceau. Contrairement au petit d'homme , le jeune maïs connait une croissance spectaculairement rapide. Ce qui lui vaut l'insigne honneur d'être fauché en pleine fleur de l'âge. Finalement, humain, c'est pas mal...
J'aime bien ces associations de couleurs et de formes. Vous ne me demandez pas pourquoi ? Non ? Eh bien, c'est mieux comme ça parce que je n'aurais pas su quoi vous répondre.
Hémérocalles. J'ai constaté sur nos blogs jardiniers un net regain d'intérêt pour ces fleurs très colorées et généreuses. Effet de mode ou passion durable ? Ici, en tout cas, elles font notre bonheur en créant des taches de couleur qui durent bien deux mois, même lorsque le soleil commence à s'inviter avec insistance.
Hydrangea Macrophylla Rotschwanz. Dit comme ça, c'est assez poétique. On irait presque attraper un bouquin de Friedrich Hölderlin pour voir s'il a composé un truc là-dessus. Eh puis, ben non ! Rotschwanz, ça veut juste dire "queue rouge". Finalement, ce qui est romantique, c'est peut-être de ne pas comprendre l'allemand.
Eh oui, la lumière vient ici aussi, d'en haut. Ça fonctionne mieux pour mettre en valeur les épis des graminées.
Fiat lux !
Non, pas un modèle turinois.
Ambiance zen.
Les lits d'en haut ? Un hôpital. Tendon d'Achille et quelques mois de transat. Un jardin à quatre mains qui passe temporairement à deux. Réduction de voilure impérative alors tant pis pour les herbes folles !
Je vous l'avais bien dit ! Maintenant, c'est bleu. Des bleus changeants, affirmés ou layette, en larges taches ou en pointillés. Il en faut pour tous les goûts, n'est-il pas ?
Ceci n'est pas une image réjouissante, à moins que l'on ne décide d'adopter le point de vue de l'araignée. Dans ce cas, les agapes s'annoncent sous les meilleurs auspices. Tout n'est-il pas, ici-bas, uniquement une question de point de vue ? Certains d'entre eux sont-ils dès lors plus estimables que d'autres ? Si vous n'avez rien de mieux à faire, pensez-y. Pour ma part, je ne vais pas pouvoir rester... Croyez bien que j'en suis le premier désolé.
BON ÉTÉ A TOUTES ET A TOUS !
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En avril, la vie a déroulé son fil dans un bocal. Vaguement poreux c'est d'accord et plutôt spacieux dans notre cas mais un bocal quand même. Indifférente aux gesticulations humaines, la nature y a poursuivi son inexorable périple. Ce qui n'est pas déplaisant puisqu'au moins, ce repère là de nos vies n'a pas varié.
Pour le coup, cet article aurait pu, sans forfanterie aucune, s'intituler "Voyage dans mon jardin".
Acer Palmatum Ukigumo
Les températures du début de soirée autorisent enfin les déambulations tranquilles sans l'équipement de survie.
Une aubépine sans trop d'épines. Donnée pour une hauteur de 3 m environ, va falloir songer à arrêter les anabolisants.
Le cornus est une fois de plus au rendez-vous. Réglé comme un coucou suisse.
L'ombrage est encore léger mais déjà appréciable. Douillet pourrait être le mot même s'il ne faudra pas compter sur moi pour me rouler avec délectation sur le tapis de feuilles de l'automne passé.
La pergola a repris du service. On peut même passer dessous, debout et sans risquer d'être assommé par un végétal sournois et vindicatif. Il en existe, je vous l'assure !
Vert bleu ou bleu vert? A vous de vous faire votre propre opinion.
Ici, tant qu'il y aura des roses, il y aura des butineuses. Tant mieux finalement.
Massifs en devenir. Cette partie du jardin n'est pas bien vieille et manque encore d'un peu de relief mais ça vient doucement.
Pintades en goguette. Étrangement, j'ai beau leur raconter ma vie de confiné, elles n'ont absolument aucune espèce d'empathie pour le calvaire que j'endure. Peut-être que si j'en cassais une...
Melianthus major, sa fleur marron violacé n’apparaît qu'après l'hiver. Jusqu'à présent, je taillais les pousses de l'année en automne... Bon, ben, promis ! Je le ferai plus.
La mer n'est pas loin mais pas encore accessible alors on se console comme on peut. Merci M. Peyronnet !
PORTEZ-VOUS BIEN
et... n'oubliez pas la crème solaire, utile même au bord du tableau.
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AVANT
Il fut un temps, pas si lointain, où la nature nous offrait ce qu'elle pouvait. Saison d'hiver oblige. Nous étaient ainsi délivrés, en vrac et sans aucune logique, ciels plombés, arbres dénudés, lumières rasantes et mers agitées. Nous nous y attendions un peu et l'attente de jours meilleurs était notre lot à tous. Le jardinier est patient, du moins essaie-t-il de l'être.
MAINTENANT
Une grosse giboulée nous est tombée dessus. Nous étions pourtant prévenus ! En mars , c'est pratiquement toujours le cas. A un détail près, cette fois-ci, la giboulée s'accompagnait d'une tuile. Le vent sans doute qui poussait fort de l'Est.
Comme personne ne semblait être capable de voir cette tuile, certains esprits cartésiens tentèrent de lui donner forme et l'on vit fleurir sur nos murs quelques représentations approximatives. C'est toujours mieux que rien. Dès lors que l'ennemi fut désigné, ne restait plus qu'à lui déclarer la guerre. L'affaire fut promptement menée et, à la mi-mars, l’état de siège fut proclamé. Désormais, nos vies seraient réglées ou chamboulées par l'irruption de nouvelles tristes, par des interventions d'experts experts en expertise quand ce ne seraient pas les savantes allégations de Diafoirus en mal de reconnaissance. La mine de circonstance devint grave et les discours péremptoires.
Nos medias modernes ont bien des qualités mais leurs défauts apparurent au grand jour, mettant une fois de plus en lumière, pour peu que cela fut nécessaire, les errements de notre comédie humaine.
De là à devenir misanthrope, il n'y aurait qu'un minuscule pas à franchir. Mais pourquoi le devenir si nous reprochions à d'autres le manque d’humilité que nous nous arrogions en fuyant le commerce des hommes ?
Tout cela est fort bien mais... et la nature dans tout ça ?
Eh bien, comment dire ?
Elle s'en fout. En long, en large et en travers.
C'est exactement ça, elle s'en fout et elle s'en porte plutôt mieux... Ben oui.
Anthropomorphisme facile et de circonstance me direz-vous. Sans doute mais après tout, qu'importe si ça détend. J'ai arrêté la tisane. Faut bien compenser...
Tout ça pour dire, qu'à l'instar du Candide de Voltaire que j'aime décidément de plus en plus, "Il faut cultiver notre jardin" .
Il n'est d'ailleurs peut-être pas inutile en ces temps d'incertitude de nous plonger à nouveau dans les écrits de ces auteurs qui, bien avant nous, eurent à affronter des situations, au demeurant, bien plus périlleuses. Sûrement y trouverions-nous matière à réflexion. Pour une fois, nous ne pourrions pas tous nous réfugier derrière le temps qui file si vite.
Ça y est, il a fini le beau parleur, le donneur de leçons ?
Sinon oui, sur terre, y'a ça !
La pergola, en ruines depuis plus d'un an, a enfin retrouvé un aplomb que je qualifierais de vertical.
Les tulipes, denrée rare et fugace autrefois, ont cette année tenu leur rang. Well done, girls !
Michelia . Leur humilité exubérante en fait la plante du printemps qui me ravit le plus. Un oxymore végétal.
Je vous assure qu'un prince charmant est caché à l'intérieur. Forcément, ça implique un peu d'engagement pour le baiser de la délivrance.
Le ruisseau est à tout le monde et puis, d'habitude, personne ne vient me déranger, alors bon...
PORTEZ-VOUS BIEN !
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Tranquillité, c'est en effet la première impression qui vient s'imprimer durablement dans ma cervelle déconnectée. En vacances, plus encore que le reste du temps ! But that's beside the point, isn'it ? Sir Percy Radcliffe s’installe ici à partir de 1905 avec sa femme, Rahmeh ( ce qui signifie " tranquillité" en arabo-persan ). Les propriétaires se succèderont mais le nom, lui, restera.
Fort heureusement, elle ne se prénommait pas فرش پرواز . D'ailleurs, cela n'aurait aucun sens puisque "Tapis volant" ne peut pas être le prénom de quelqu'un et encore moins celui d'un jardin. Dont acte.
Main de Bouddha - Citrus medica var. sarcodactylis. Parfume le linge et les chambres chez les Chinois et les Japonais, nous dit-on. Ça m’ennuierai quand même un peu de trouver des mains jaunes crispées sur mes chaussettes et mes caleçons. Sinon, on peut confire la peau de ce fruit. Bon, on va plutôt faire ça.
Naturel, le tressage ? Faut vraiment avoir du temps libre pour entreprendre de tresser tout ce que cet arbre propose comme matériau pour un atelier macramé...
Blouson à clous pour arbre possesseur d'une grosse Harley. Le tailleur dispose une bonne échelle pour prendre les mesures.
La famille Barbapapa fait un peu la tête depuis que des sans-gêne de la famille Pistozétoiles sont venus taper l'incruste sur leur tapis de graviers. Sinon ils peuvent toujours réécouter "Satisfaction" by Devo...mais ça ne les aidera pas trop, j'en ai bien peur..
Le petit panneau indique, qu'à cet endroit, on peut admirer un petit étang. Surement pour prévenir les étourdis qui auraient la tentation de marcher dans les grands moules à tarte.
Il eut été dommage de ne pas s'en approcher. Comme cligno sur la Harley ? Bon, après, je sais pas trop si ça peut clignoter ce truc...
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Le Major Lawrence Johnston créa en 1924, à Menton, un jardin exotique à l’architecture paysagère. Nostalgie des colonies, besoin d'ailleurs ? Je n'en sais rien et n'ayant pas eu le plaisir de le rencontrer, je n'ai pu apprendre ce qui a conduit ce monsieur à faire bâtir maison dans un vallon resserré derrière Menton. Contrairement à ce que je pensais ( On a parfois tort de penser mais ceci est un autre sujet... ) , la serre ici ne désigne nullement une greenhouse mais une crête sur le versant de laquelle le jardin est installé. Ce que la Madone allait faire sur cette crête, l'histoire ne le dit pas. Je laisse donc à chacun d'entre vous le loisir d'enquêter sur cette étrange lubie.
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