• Interlude

    Avril est versatile. Tour à tour adepte du soleil qui chauffe et sèche la terre mais qui permet de tondre l'herbe qui, elle, ne connaît pas de répit puis distributeur sans limites de vent d'ouest, d'orages et de pluies drues qui gonflent le ruisseau et lui font retrouver la teinte chocolat qu'il nous réserve d'ordinaire pour les pluies de l'hiver. Un autre, dans le jardin, a bien profité de ces pluies pour refaire le plein sans que personne ne lui ait rien demandé.

    Le bassin. La bâche était prête pour la pose mais il nous faudra encore patienter le temps que le sol, argileux à cet endroit, veuille bien absorber ce trop plein de présent céleste. En attendant de pouvoir vous présenter enfin l'objet fini, un aimable interlude vous est proposé, agrémenté d'images en couleur en provenance directe de nos plates-bandes. 

     

          

     

    L'Aspera Macrophylla pour ses feuilles de printemps veloutées, régal involontaire de bêtes à cornes molles.

    Ces iris sur le mur blanc de l'entrée, c'est simple mais tous les ans, c'est le même plaisir graphique qui se répète.

    Et, pour finir, le muguet qui s'obstine, comme toujours, à fleurir bien avant le 1er mai. Puisque c'est comme ça, je propose d'élargir la fenêtre de congés afin d'être sûr de tomber en pleine floraison et ce, dans tout le pays.                                   Comment ça, pas raisonnable ?

     

     

        

    Un Berberis à pendeloques. Plus trop la mode dans les salons mais, au jardin, c'est encore autorisé. Profitons-en.

    Une des euphorbes du jardin qui n'en finit pas de fleurir. La couleur évolue mais toujours sans faute de goût. On aime!

           

    La crise du logement touche même nos campagnes. Un petit collectif joliment aménagé où chacun profite de son petit coin de verdure et de la vue panoramique sur les environs. Charmant. Seul bémol, les communs sont au bout de la branche. C'est parfois le problème dans l'ancien, les normes n'y sont pas toujours adaptées à la vie moderne. 

     

           

    Ça sent drôlement bon ! Pour l'Odorama, faudra un peu patienter parce que mes capacités en informatique étant ce qu'elles sont, vous n'êtes pas prêts d'en faire l'expérience par le biais de ce blog. La pluie ne l'a pas trop abîmé cette année parce que le blanc, c'est un peu salissant d'habitude. Alors, ne boudons pas notre plaisir.

    Escadrille de saxifrages en approche. Vont pas pouvoir atterrir tous en même temps parce que sinon, ils vont exploser quelques lamiums.

     

          

     Chacun son public.                                                                                                                                                                                                A l'ombre pour l'Acer qui allume tout un coin ombragé de son feuillage qui ne fonce que très progressivement en  cours de  saison. 

     Un peu plus dans la lumière pour ce rhodo qui déploie ses boules roses de bonne humeur dans tous les coins du  massif à  l'entrée sans tomber dans l'overdose de guimauve. Je n'aime pas trop les rhodos qui se transforment, lors  de la floraison, en  char de carnaval des fleurs. On peut, bien entendu, goûter un tel spectacle.

     

      

     

    La prairie. Décor 100% naturel très fréquenté par les butineuses. Du coup, je fais le tour avec la tondeuse en attendant que ça fane. Une pelouse bleue, c'est pas mal non plus et puis, si je voulais, je pourrais en plus être ami avec des schtroumpfs et ils ne seraient pas dépaysés. Allez...

    Schtroumpfez-vous bien ! 


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  • Fortune de jardin

    Aujourd'hui, chers zauditeurs(trices), point de lingots ou autres monnaies anciennes cachés là par un personnage de roman et qui les aura oubliés comme les écureuils ou aura été dans l'impossibilité de venir les récupérer parce qu'il aura perdu, lors d'un déménagement,  la carte qui en indiquait l'emplacement exact.

    Non. Il s'agit plutôt de bonne ou mauvaise fortune. En l’occurrence, pour le cas nous occupant, de faire contre mauvaise fortune bon cœur. En lisant certains blogs jardiniers, il n'est pas rare de rencontrer des types de situations quasi similaires. Aujourd'hui, c'est ici que ça se passe. Il fallait bien que ça arrive un jour. De quoi est-ce qu'il s'agit donc ?

    De ça.

       Fortune de jardin  

    Pas fameux pour les plantes, je vous l'accorde. Ce truc dure de dix à quinze minutes mais sans s'économiser et avec abnégation, ce qui donne ensuite le résultat suivant dont on ne peut pas dire qu'il incite à danser la gigue. 

     

        Fortune de jardin       Fortune de jardin

     

         Pas trop de volume, non ? Si vous souhaitez une vue         Et puis, ces feuilles trouées, ça manque de tenue.                      un peu moins déprimante, reportez-vous à l'article            Non, pas de limaces super voraces. En dix minutes,                précédent dans la même rubrique.                                          faudrait un sacré estomac.

     

        Fortune de jardin       Fortune de jardin

     

     Non, pas non plus une fête des fleurs au cours de laquelle on dessine avec des pétales. Ici, l'agencement, un peu  abstrait  c'est vrai, n'est que le fruit du hasard.                                                                                                                                  Faudra aussi être un peu patient pour que l'Edgeworthia ressemble à un arbuste avec des vraies feuilles symétriques.  Là,  c'est un peu freestyle.

     

       Fortune de jardin      Fortune de jardin   

    Rien n'avait été demandé au rosier. C'est lui qui a décidé, de son plein gré ( presque ), de pailler d'un seul coup d'un seul le massif près de la terrasse. Un paillage fait dans l'urgence, on s'en rend compte, parce que l'Eremurus et les geraniums ont explosé sous la fougue sympathique de cet auxiliaire zélé. Travaille pas dans la finesse le camarade !

    Le magnolia était à l'endroit où ça soufflait le plus. Vent + grêlons = oreilles en dentelle. Bizarrement, la fleur semble intacte. Si elle fleurit, on la met sous cloche et on l'expose dans un musée ! 

    Cette année donc, le jardin va se remettre doucement de cet épisode fâcheux et tentera, l'an prochain, de faire mieux comme on dit dans les milieux sportifs. Bon, je vous vois abattu(e).

    Mais... comme dans tous les contes, le Bien triomphe forcément à la fin parce que, seul survivant de toute la galaxie, le voici revenir du diable vauvert. Il a pris la corde et file vers le poteau. Mesdames et messieurs, c'est extraordinaire, c'est hallucinant , c'est ... c'est... j'en bafouille et j'en perds mon latin. Il a maintenant trois longueurs d'avance et ne peut plus être rejoint. Ouiii ! Premier, le rosier grimpant que voici que voilà, facile vainqueur de ce trophée des Survivants pour lequel il était, c'est d'accord, le seul à concourir. N'empêche, c'est beau et je le prouve. 

     

             Fortune de jardin     Fortune de jardin

     

             Fortune de jardin     Fortune de jardin

    Comme c'est un natif de l'autre bout de la galaxie, nous ne connaissons pas son nom. Il fleurit toujours le premier avant de baisser pavillon pour cause de marsonia avec quelques remontées sporadiques. Si son faciès engageant éveille un écho en vous ou que vous étiez voisins de palier étant petits, nous aimerions bien connaître son nom. Après tout, il a quand même porté bien haut la devise chère à Winston...

    " Keep calm and carry on " 


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  • It's all white... and it's in english.

    For sure it's a bad joke but it was such a great temptation that I couldn't avoid it. As I was wandering in the garden, it appeared to me that, this week, most flowerings were white. I made up my mind to introduce some of them to you.

    Let's have a look to those white beauties.  

       It's all white. It's all white.

    I like the way the wells of the flowers are sculpted by the sun.                       A pretty finely cut foliage edged with white.

     

      It's all white.  It's all white.

    Wisteria brachybotrys "Shiro Kapitan" . Clusters of immaculate white flowers and, last but not least, its fragrance is a true pleasure. An all in one vending machine of happiness.

     

         It's all white.

     Apple tree. One of my favourite flowerings. It lasts for more than a fortnight. Far longer than a cherry tree ( here, in our region ) and an equally spectacular big show. If, by chance, eatable apples follow the performance, it's Bingo !

    It's all white.It's all white.

     

       Rosa wichuriana variegata for the foliage that                   Purezza, small white flowers and a no problem climbing rose                is so impressive right now

     

       It's all white.    It's all white.

     

     Choisya Aztec Pearl. I like those orange dots that irresistibly                  Euphorbia Characias Variegata, in ranks like the        attract  me every time I look up at it.                                                             Roman Army. Well, nearly.

     

    ... Then came a storm and that was the end of it. Believe me, it was a real carpet icebombing. 

     

              It's all white.       It's all white.

                                                 OK, that's white too but cold and uninviting. Big challenge for the apples.

     

              It's all white.

              From Internet " Asterix and the Britons "

                                              Maybe some mistakes . Please, ignore them, they're not worth it !

     

                                                   Have a nice day in your garden.

     

     

     

     

     

     

     

       


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  • Le matin d'après...

    D'après quoi ? En fait, il s'agit du matin d'après St Jean de Beauregard.

    Non, je ne vais pas vous présenter nos achats parce que ce sera pour la prochaine fois de même que je reviendrai à ce moment-là sur notre rencontre avec d'autres Seedlovers à l'occasion de cette foire aux plantes. 

    Pourquoi la prochaine fois ? Simplement parce que nous avons beaucoup planté dimanche. Pas question de laisser rôtir au soleil déjà gaillard nos nouveaux venus au jardin. Du coup, pas trop de temps pour les photos hormis celles de ce dimanche. On y revient. Donc, promenade matinale au jardin dans l'air tiède d'un début de journée qui s'annonçait ( et sera ) chaude. C'est tout de suite et c'est par là. -->

     

          Le matin d'après

    Belle surprise ce matin en ouvrant les volets. C'est comme la neige, les fleurs se sont installées sans bruit pendant la nuit ( et samedi pendant que nous étions à St Jean ). Nous n'avons pas sorti la bâche bleue comme les Japonais mais, comme eux, j'ai mitraillé l'arbre sous toutes les coutures. Je fais ça tous les ans à pareille époque... Hmm !?... No comment, please. 

     

          Le matin d'après        Le matin d'après

    Le lamium ou l'éloge de la symétrie. Les utilisateurs, comme vous pouvez le constater sur la deuxième image, soulèvent légèrement le chapeau,  (Ça chatouille un peu à cause des poils. En effet, le lamium ne s'épile pas. ) ils se servent et, une fois leurs emplettes terminées, rabattent le dit chapeau pour conserver la fraîcheur du produit. Ainsi la chaîne du froid n'est pas brisée et d'autres viendront se servir sans crainte d'une quelconque altération des denrées. Astucieux, non ? Le client photographié, en bas sur la vue de droite, nous a confié qu'il appréciait ce concept, tout nouveau dans le règne animal, de distributeur automatique réfrigéré.

     

          Le matin d'après 

    Pour quelqu'un qui prétend n'aimer ni le jaune ni le orange, je dois bien avouer que ça fait désordre. J'admets que mon jugement fut un peu hâtif et qu'il me faudra dorénavant nuancer mon propos à l'évocation de ces couleurs. 

     

           Le matin d'après    Le matin d'après    Le matin d'après

    Les discrètes qui aiment le ton sur ton. L'angélique et son champignon atomique en phase d'épanouissement, la Tiarella, couvre-sol sympathique à floraison discrète et le Gunnera qui semble s'être bien installé maintenant.

     

           Le matin d'après

     

    J'ai commencé ma promenade en levant le yeux vers le ciel et j'en suis à explorer le ras de sol avec le podophyllum. Je vais finir avec les taupes si je n'y prends garde. J'adore son côté bon pépère sûr de son fait. Une espèce d'Achille Talon végétal. Cette année, les limaces et autres baveux ne semblent pas encore l'avoir repéré. Profitons-en.

            Le matin d'après     Le matin d'après

     

     J'ai toujours appelé ça des clochettes des bois mais il semble qu'il s'agisse sans doute possible de la fameuse  jacinthe des bois dont le petit nom scientifique serait Hyacinthoides non-scripta. Bon, d'accord, y'a qu'à dire ça.                                       Tout en rondeur et en bonhomie, tulipe et cercidiphyllum. 

         Le matin d'après  

    Un coin du jardin. Nous profitons des grands arbres plantés chez notre voisin et presque tout autour du jardin. Chez lui aussi, le cerisier s'est couvert de fleurs comme par magie.

     

         Le matin d'après

     

    Cette semaine, je vous la souhaite lézardant au soleil.

     

    Bronzez et prenez du bon temps.

     

     

     


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  • Quand le printemps s'installe pour de bon

    En tout cas, souhaitons-le. Petit bémol, il faut dès à présent arroser un sol qui sèche vite avec le vent qui nous nettoie le ciel. Le paillage va vite devenir indispensable.

           Quand le printemps s'installe pour de bon

    Au matin, la lumière vient réveiller les couleurs dans la partie Est du jardin. Ça tombe bien, c'est de ce côté que nous sortons pour aller travailler. Pas le temps de musarder partout mais ce coup d’œil vaut tous les accélérateurs de bonne humeur.

    Quand le printemps s'installe pour de bon  Quand le printemps s'installe pour de bon  Quand le printemps s'installe pour de bon

    Itinéraire d'une pivoine arbustive. Au soir de son existence, la belle conserve son port altier même si le soleil, généreux cette semaine, a bien fané sa robe. Difficile de choisir entre la chaleur et des couleurs préservées. 

    Quand le printemps s'installe pour de bon            Quand le printemps s'installe pour de bon

     

     

    La lumière, toujours changeante en ce début de saison, est d'une aide précieuse pour mettre en valeur ce qui peut l'être.  

      Quand le printemps s'installe pour de bon

     

    Si les fraises Tagada sont votre référence en matière de sucreries, vous avez tout pour être comblé(e). Pour les autres, l'azalée en pleine floraison s'apparentera plutôt à un étal trop bien garni. Affaire de goût.

      Quand le printemps s'installe pour de bon

     

    Le saule tortueux fleurit dans une relative discrétion. On l'aime aussi pour ça même si ses branches et son feuillage délicat nous ravissent également une grande partie de l'année.

    Ce weekend, nous montons à St Jean de Beauregard en quête du Saint Graal ou presque.

    Sous quelle forme nous apparaîtra-t-il ? Nous avons bien quelques idées, oui, mais peut-être prendra-t-il un aspect auquel nous n'aurions pas pensé auparavant. Peut-être y croiserons-nous aussi quelques Seedlovers. Time will tell. 

     

    Bon weekend à tous 


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  • Jardins de LY

    Dans la vallée de la Bresle, à la frontière entre Normandie et Picardie. A vous de décider en fonction de la rive que vous emprunterez. Le village de Sénarpont dans une région où les maîtres verriers tinrent longtemps le haut du pavé avant que d'autres contrées et d'autres matériaux ne viennent les déloger de là. Une campagne tranquille un peu à l'écart des grands centres urbains.

    Un jardin à quatre mains où Louisette ( le L ) explore le potager sous toutes les coutures et Yves ( le Y of course ) s'occupe de la partie paysagère. Très schématique comme répartition des rôles parce que c'est sûrement un peu plus mélangé que ça. L'espace planté commande certainement que tous deux s’attellent à pas mal de tâches qui vont au-delà de leurs domaines de prédilection.

    A quoi ressemble donc ce jardin ? A rien d'autre qu'à lui-même. Inclassable, assurément. Il est l'oeuvre de ces deux passionnés qui y ont exprimé leurs envies sans tenir compte des canons (très respectables eux aussi ) proposés par nos magazines jardiniers. 

    C'est d'ailleurs dans un magazine que je découvris pour la première fois l'existence de ce jardin mais, comme toujours, un article, quel qu'il soit, ne reflète que les choix de son auteur et j'avoue que je n'avais pas été charmé outre mesure par les illustrations. Comme quoi, c'est toujours mieux en vrai et puis, on rencontre les jardiniers et ça, c'est pas dans le reportage. Ce jardin, en tout cas, leur ressemble. Ouvert et généreux. Ca bourdonne de vie, c'est plein de couleurs et ça fourmille d'idées. Une déambulation dans un espace de complète bonne humeur. 

    Le jardin se visite avec nos hôtes. Chacun apportant ses explications sur la partie qui constitue son domaine d'action. Intarissables tous les deux. Nous sommes restés environ ... quatre heures à papoter sans nous ennuyer un seul instant. 

    Jardins de LY    

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Une vision de l'Asie très soignée et très personnelle. Les conifères y ont la part belle dans des harmonies joliment élaborées.

    Jardins de LY

     Ici, on coiffe en permanence ou presque. Un travail à plein temps.

     

    Jardins de LY

    Une clairière plus exotique avec quelques frileuses qui profitent de l'été picard. Les grosses feuilles n'appartiennent pas à l'arbre, je vous l'assure. Pas plus d'ailleurs que les fleurs jaunes. Et l'escargot survitaminé, dans le fond, a le mérite d'être totalement inoffensif pour les feuillages alentour. 

     

      Jardins de LY           Jardins de LY

     

    De la couleur pour réveiller une allée de sous-bois               Une composition, elle aussi, pleine de vitamines

    Des végétaux mis en scène ou supports d'une mise en scène ? Ni l'un ni l'autre mais un peu des deux et ça fonctionne! En tout cas, c'est très ludique. 

     

    Jardins de LY

     

    Habiller l'espace, guider le regard sans l'emprisonner.

     

    Jardins de LY

     

    Le pot de crayons est tombé. Tous plantés et alignés le long du chemin comme à la parade. Y'a des coïncidences, comme ça, faut le voir pour le croire. Photo réalisée sans aucun trucage, cela va sans dire.

     

    Jardins de LY

     

    Des bonsaï comme s'il en pleuvait. Un rayonnage à n'en plus finir. Tout ce qui peut l'être a dû être testé ici sous forme de bonsaï.

    Etagères exigeantes. Petits contenants, grande soif aux beaux jours. Les porteurs d'eau ne chôment pas. 

     

        Jardins de LY  Jardins de LY  

        Les jardins de LY, c'est aussi ça.                                       Des Ginkgo aussi, une famille s'est installée dans le coin.

     

    Et puis, dans un jardin familial, pas de démultiplication des bras pour qu'à chaque instant de l'année tout soit au meilleur de sa forme. Une partie des allées restera donc un mystère pour nous. En cours d'entretien ou de restructuration.

    C'est normal et c'est mieux ainsi quand nombre de jardins ouverts à la visite oublient de mentionner les aides diverses et variées dont bénéficient leurs propriétaires. Au point, parfois, de les faire passer pour des superjardiniers dotés d'une capacité de travail hors normes.

    Au moment de boucler, je réalise que je n'ai pas de photos du potager (  Such a shame  ! ) . N'en concluez rien de négatif. Juste que j'ai suivi Yves pour aller voir d'autres coins à merveilles botaniques. Mais croyez-moi, ce potager saura vous en réserver de bien belles, des surprises.

    Alors si une visite vous tente, c'est par là: Jardins de LY

     

     

     


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